Suite à la destruction partielle du barrage de Kakhovka dans le sud de l’Ukraine, les pompiers humanitaires du Groupe de Secours Catastrophe Français (GSCF) sont très attentifs à la situation.
Les inondations qui ont suivi la rupture du barrage ont été d’une ampleur record, avec une hausse significative du niveau du fleuve Dniepr de plusieurs mètres. Les eaux ont envahi des terres qui ne sont habituellement pas immergées en aval du barrage, dans l’oblast de Kherson. Les dégâts ont d’abord été importants autour du point de rupture du barrage, avant que les gigantesques volumes d’eau libérés par le barrage ne gagnent toutes les rives du Dniepr jusqu’à la Mer noire, dans laquelle le fleuve se jette.
Ces conséquences témoignent de l’immensité des dégâts causés par la destruction partielle du barrage.
Nous restons à l’écoute des besoins éventuels des populations touchées.
En cette période difficile, il est essentiel de rester solidaires et de faire preuve d’entraide. Nous encourageons également la communauté internationale à se mobiliser et à apporter son soutien aux efforts de secours en faveur des populations touchées par cette catastrophe.
Nous tenons à exprimer notre solidarité envers toutes les personnes touchées par cette tragédie et nous continuerons à travailler sans relâche pour assurer leur sécurité, leur bien-être et leur rétablissement. Les pompiers humanitaires du GSCF sont déterminés à apporter leur contribution dans cette période de crise et à soutenir les populations dans le besoin.
Sujets: Barrage de Kakhovka en Ukraine, pompiers humanitaires, ONG